Au Cameroun, les rapports sexuels entre deux personnes de même sexe et le travail du sexe sont punis par les articles 347 bis et 143 du code pénal. Miss Poorshia, femme transgenre, travailleuse du sexe et activiste pour les droits humains, témoigne :
“J’ai vécu une enfance assez douloureuse. Au départ, durant mon adolescence je n’avais pas conscience de ma transidentité, c’est en faisant des recherches que j’ai connu certaines organisations touchant des populations LGBT que j’ai commencé à me poser certaines questions. Ces activités et ces rencontres m’ont permis de comprendre que j’étais non pas un homosexuel, une personne cis, mais une femme Trans. Vivre ce moment, c’est dur, très dur… Vous vous demandez si vous avez le droit de vivre, si vous avez le droit de parler.” […]
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